La réponse est la suivante :
-1. Le “Zéro Artificialisation Nette” (ZAN)
Pourquoi ça interpelle : c’est la réforme la plus marquante depuis 10 ans. Elle touche directement le droit à construire et la planification locale.
Tensions :
-sentiment de perte de maîtrise pour les élus,
-inquiétude sur le développement des villages et le logement des jeunes,
-difficultés à comprendre la “consommation d’espace”.
Questions fréquentes :
-“Peut-on encore ouvrir de nouvelles zones AU ?”
-“Comment densifier sans dénaturer ?”
-“Le ZAN est-il compatible avec l’accueil de population saisonnière ou
touristique ?”
-2. Le logement (manque, coût, mixité sociale)
Pourquoi : la crise du logement touche toutes les strates : métropoles saturées, zones littorales inaccessibles, villages désertés.
Sous-thèmes :
-logements sociaux et obligations SRU (L. 302-9-1-2),
-encadrement des locations saisonnières (Airbnb),
-difficulté de réguler la spéculation foncière,
-vieillissement du parc immobilier.
Problème de fond : concilier attractivité et accessibilité.
-3. La préservation des paysages et du patrimoine
Pourquoi : les habitants s’identifient à leur territoire. Tout projet visible ou “hors gabarit” suscite de fortes réactions.
Exemples :
-tensions avec les Architectes des Bâtiments de France (ABF),
-contestation des projets littoraux ou de montagne,
-recours fréquents contre des projets jugés “disproportionnés”.
En Corse : la “bande des 100 m”, les sites patrimoniaux remarquables (SPR) et les hameaux anciens sont au cœur du débat.
-4. La transition écologique et énergétique
Pourquoi : c’est le grand cadre politique actuel.
Déclinaisons urbaines :
-production locale d’énergie (photovoltaïque, éolien, réseaux de chaleur),
-végétalisation, gestion des eaux pluviales, désimperméabilisation,
-réhabilitation plutôt que démolition.
Tension : concilier écologie et viabilité économique des projets.
-5. La mobilité et l’étalement urbain
Pourquoi : les habitants veulent vivre à la campagne mais travailler en ville.
Questions clés :
-comment limiter les trajets sans nuire à la liberté d’habiter ?
-faut-il concentrer l’habitat autour des pôles de transport ?
-place de la voiture dans les bourgs et centres anciens.
Problème typique : “densifier sans congestionner”.
-6. La participation citoyenne et la concertation
Pourquoi : les habitants veulent être acteurs, pas spectateurs.
Formes :
-enquêtes publiques, réunions de concertation, ateliers participatifs.
-Mais : beaucoup dénoncent des procédures “purement formelles”.
Attente : que la parole locale ait un effet réel sur les projets et documents (PLU, OAP…).
-7. La reconversion des friches et la renaturation
-Pourquoi : la réutilisation des espaces déjà artificialisés est devenue une obligation (et une opportunité).
Problèmes rencontrés :
-complexité technique (pollutions, coûts de dépollution),
-manque d’ingénierie locale,
-rareté des financements.
Mais : ces projets suscitent de l’adhésion s’ils redonnent vie à des lieux abandonnés.
-8. La perte de sens du cadre réglementaire
Pourquoi : les PLU et règlements paraissent de plus en plus illisibles.
Incompréhension fréquente :
-“Pourquoi mon voisin a pu construire et pas moi ?”
-“Pourquoi faut-il 3 autorisations pour un même projet ?”
Conséquence : défiance envers les services d’urbanisme et les institutions.
Si vous vous reconnaissez dans ses préoccupations, URBADEV peut peut-être vous aider
N’hésitez pas à nous contacter.
-1. Le “Zéro Artificialisation Nette” (ZAN)
Pourquoi ça interpelle : c’est la réforme la plus marquante depuis 10 ans. Elle touche directement le droit à construire et la planification locale.
Tensions :
-sentiment de perte de maîtrise pour les élus,
-inquiétude sur le développement des villages et le logement des jeunes,
-difficultés à comprendre la “consommation d’espace”.
Questions fréquentes :
-“Peut-on encore ouvrir de nouvelles zones AU ?”
-“Comment densifier sans dénaturer ?”
-“Le ZAN est-il compatible avec l’accueil de population saisonnière ou
touristique ?”
-2. Le logement (manque, coût, mixité sociale)
Pourquoi : la crise du logement touche toutes les strates : métropoles saturées, zones littorales inaccessibles, villages désertés.
Sous-thèmes :
-logements sociaux et obligations SRU (L. 302-9-1-2),
-encadrement des locations saisonnières (Airbnb),
-difficulté de réguler la spéculation foncière,
-vieillissement du parc immobilier.
Problème de fond : concilier attractivité et accessibilité.
-3. La préservation des paysages et du patrimoine
Pourquoi : les habitants s’identifient à leur territoire. Tout projet visible ou “hors gabarit” suscite de fortes réactions.
Exemples :
-tensions avec les Architectes des Bâtiments de France (ABF),
-contestation des projets littoraux ou de montagne,
-recours fréquents contre des projets jugés “disproportionnés”.
En Corse : la “bande des 100 m”, les sites patrimoniaux remarquables (SPR) et les hameaux anciens sont au cœur du débat.
-4. La transition écologique et énergétique
Pourquoi : c’est le grand cadre politique actuel.
Déclinaisons urbaines :
-production locale d’énergie (photovoltaïque, éolien, réseaux de chaleur),
-végétalisation, gestion des eaux pluviales, désimperméabilisation,
-réhabilitation plutôt que démolition.
Tension : concilier écologie et viabilité économique des projets.
-5. La mobilité et l’étalement urbain
Pourquoi : les habitants veulent vivre à la campagne mais travailler en ville.
Questions clés :
-comment limiter les trajets sans nuire à la liberté d’habiter ?
-faut-il concentrer l’habitat autour des pôles de transport ?
-place de la voiture dans les bourgs et centres anciens.
Problème typique : “densifier sans congestionner”.
-6. La participation citoyenne et la concertation
Pourquoi : les habitants veulent être acteurs, pas spectateurs.
Formes :
-enquêtes publiques, réunions de concertation, ateliers participatifs.
-Mais : beaucoup dénoncent des procédures “purement formelles”.
Attente : que la parole locale ait un effet réel sur les projets et documents (PLU, OAP…).
-7. La reconversion des friches et la renaturation
-Pourquoi : la réutilisation des espaces déjà artificialisés est devenue une obligation (et une opportunité).
Problèmes rencontrés :
-complexité technique (pollutions, coûts de dépollution),
-manque d’ingénierie locale,
-rareté des financements.
Mais : ces projets suscitent de l’adhésion s’ils redonnent vie à des lieux abandonnés.
-8. La perte de sens du cadre réglementaire
Pourquoi : les PLU et règlements paraissent de plus en plus illisibles.
Incompréhension fréquente :
-“Pourquoi mon voisin a pu construire et pas moi ?”
-“Pourquoi faut-il 3 autorisations pour un même projet ?”
Conséquence : défiance envers les services d’urbanisme et les institutions.
Si vous vous reconnaissez dans ses préoccupations, URBADEV peut peut-être vous aider
N’hésitez pas à nous contacter.